Willen, mit voller Hingabe schicken. Mein Tod wird schon
für etwas gut sein …Wenn der liebe Gott das schwerste
Opfer meines Lebens fordert - so weil er findet, daß ich
hiernieder meine Bestimmung erfüllt habe, und
daß in seine unerforschlichen, weisesten Absichten mein
Tod einen „höheren Sinn“ als mein Leben haben muss.
Das ist mein Glaube. Ich denke durch meinen Tod, den ich
freiwillig dem Herrgott aufopfere - in Vereinigung mit dem
Tod unseres Heilands - dass ich viel vor Gott von meiner
Schuld wieder gut machen kann - u. auch vor den Menschen
das Ärgerniß, daß ich durch mein gottloses Irrtum - gege-
ben habe. - Ich sehe mit größter Zuversicht dem Tode in
die Augen : ich weiß u. glaube - er ist nicht ein Ende - sondern
ein Übergang, ein Anfang ! Ich habe mich so gut ich konnte mit Gottes-
Gnade auf diesen Tod vorbereitet - alles Leid ihm als Sühne
aufgeopfert - Nun nimm noch meinen Tod hin als Opfer der..
Reue, der Sühne, des Gehorsams, der Hingabe an Gott - „In te Domine
speravi non confundar in aeternum“. In Dich habe ich gehofft-
Herr, ich werde nicht zur Schande werden. Der göttl. Heiland, der
für uns so schwer gelitten - und seine göttl. - Mutter - Maria -
zu denen ich jeden Tag viel für meine Todesstunde gebetet
habe - werden mich nicht verlassen. - Meine letzte Worte werden
einen Schrei sein : „Schmerzhafte Mutter Gottes“ - nimm mich
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entièrement à sa volonté en lui accordant toute notre confiance.
Ma mort sera certainement utile à quelque chose...
Si le Bon Dieu exige de moi le plus grand
sacrifice de ma vie, - c’est qu’il estime que j’ai
accompli ma mission ici-bas , et que,
dans ses desseins les plus impénétrables et dans sa sagesse infinie, ma
mort doit avoir une valeur supérieure » à celle de ma vie.
C’est ce que je crois. Je pense que par ma mort que j’ai choisi
d’offrir
au Seigneur - en union avec la
mort de notre Sauveur - que devant Dieu, je pourrai me racheter
de beaucoup de mes fautes, mais aussi devant les hommes
que j’ai blessés par mon erreur impie.
C’est avec la plus grande confiance que je regarde la
mort en face : je sais et je crois - la mort n’est pas une fin - mais
un passage, un commencement ! Avec la grâce de Dieu, je me suis préparé aussi bien que possible
à cette mort, - je lui ai offert toutes mes souffrances en
expiation de mes fautes. Accepte maintenant aussi ma mort
en rémission de mes fautes, en signe de ma repentance, de ma soumission et de mon abandon à
Dieu.
« In te Domine speravi, non confundar in aeternum“ J’ai espéré en toi, Mon Dieu,
je ne serai pas couvert de honte. Notre très Saint Sauveur
qui a tant souffert pour nous- et sa très sainte Mère -Marie-
que j’ai priée chaque jour pour son intercession à l’heure de ma mort
ne m’abandonneront pas. Mes dernières paroles
seront un cri : « O Mère de Dieu, Mère des Douleurs,»
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